Bon à l’heure où vous lirez ces lignes, je serai dans un train à résoudre des énigmes mystère (à suivre sur mon snapchat), mais je me suis dit qu’un jeudi matin, avant veille de week end (qu’on espère ensoleillé) ça serait idéal pour vous parler un peu culture générale, littérature, écrivaine (j’accorde si je veux) …
(oui, sachez le, je ne suis pas que superficialité)
Figurez vous qu’il m’est arrivé un truc de fou, un peu comme une fan qui a balancé sa culotte sur la scène de son idole, ou comme une pie qui a volé sa prière bague, ou comme une invitation au soldes du personnel (-60%) chez Minelli : j’ai rencontré en vrai une de mes e-doles … une vraie e-conne pour moi !
- celle dont la plume me fait autant d’effet qu’un pain perdu au caramel beurre salé
- celle qui m’a accompagné plus d’une fois mes soirs
de beuveried’insomnie ou mes matins dans mon bain - celle qui avec ses textes a aussi réussi à me tirer quelques reniflements de nez entre 4 grosses crises de fou rire
- celle qui vit sur cette côte que j’aime tant (l’Atlantique hein …pas la côte de porc)
- celle qui a un mari presque tout neuf alors que moi j’ai un Prince Charming
- celle qui a su faire un mec alors que moi je n’ai que des meufs !
ma Femme Sweet Femme préférée que mon netvibes adore autant que moi, et que je lis tous les jours (même les jours fériés) et sans m’essuyez les pieds (private joke)
… Petite blogueuse devenue grande, puisque déjà son deuxième roman paru chez Fayard depuis le 4 mai dernier
»Tu comprendras quand tu seras plus grande »
(vin diou que cette phrase m’a énervée quand j’étais aussi haute que 3 pommes)
Pitch : Quand Julia débarque comme psychologue à la maison de retraite Les Tamaris, elle ne croit pas plus au bonheur qu’à la petite souris. Pire, une fois sur place, elle se souvient qu’elle ne déborde pas d’affection pour les personnes âgées. Et dire qu’elle a tout plaqué pour se sauver, dans tous les sens du terme.
Au fil des jours, Julia découvre que les pensionnaires ont bien des choses à lui apprendre. Difficile pourtant d’imaginer qu’on puisse reprendre goût à la vie entre des papys farceurs, des mamies fantaisistes et des collègues au cœur brisé… Et si elle n’avait pas atterri là par hasard ? Et si l’amour se cachait là où on ne l’attend pas ?
C’est l’histoire de chemins qui se croisent. Les chemins de ceux qui ont une vie à raconter et de ceux qui ont une vie à construire.
C’est une histoire d’amour(s), une histoire de résilience, une ode au bonheur.
Je vais vous épargner le numéro des pages ou j’ai du aller chercher du sopalin qui a d’ailleurs irrité mon nez (et dilater mes pores), celles où j’ai souri comme une idiote toute seule dans mon bain (au risque de noyer Julia et son histoire), celles ou j’ai même ri …
(512 pages… il y a de quoi faire)
Bref, comme dirait Pépin, ce roman il faut le lire sans modération chaque soir sous sa couette (ou planqué derrière son bureau… promis je ne vous dénoncerai pas), ou l’offrir à sa mewsette dimanche, ou le lire et après s’en servir de cale porte , ou de moyen de pression avec ses enfants (fais gaffe, ma puce, tu vas le prendre dans la gueule et c’est comme les pages jaunes, ça ne laisse pas de marque)... comme vous voulez du moment que vous l’achetez !
En attendant moi je dis